Trois parties délimites la vidéo : la première partie dure un peu moins de 4 minutes et représente des maisons désertes et vides ; la deuxième montre la vie, la terre et la population paisibles durant 4 minutes ; puis la dernière partie illustre la panique, la catastrophe et la fin du monde.

J’ai décidé de séparer ma vidéo pour raconter une histoire grâce à des images illustrant des flashbacks et jouant avec le temps. Les premières minutes, je mets en scène le présent sans explication dans un atmosphère angoissant et glaçant, ensuite avec un contraste, peu de son, des images ralenties, belles et subtiles, je montre le passé dans le passé et pour finir, sans transition, j’ai exposé progressivement le passé donc la raison de mes premières images à travers les scènes de catastrophe, des images de panique jusqu’à arriver à des images d’explosions.

Afin de construire correctement mon court métrage, j’ai commencé par enregistrer grâce au microphone de mon téléphone, des sons d’ambiance (son de nature, de chat qui ronronne, d’une descente d’un escalier, d’un ascenseur), des sons de situation (son de travaux, d’eau qui coule, de volets qui claquent) et des sons de bruit (son de tasse, de papiers, d’un interrupteur, d’une poubelle, d’ongles sur un tableau). A partir de certains sons enregistrés, j’ai coupé, répété et ressorti certains bruits qui m’intéressaient. Les images sont tirées de films et de vidéos youtube.